Revue de presse Le Telegramme
En assemblée générale, vendredi soir, à la cité Allende, l’Asal (Association sportive artistique et de loisirs) tirait le bilan d’une année d’activité. Trois questions à Philippe Trécant, président de l’association depuis 2009.
Comment se porte l’Asal ?
Avec près de 1.400 adhérents répartis dans 23 activités (dont près de 1.200 dans les treize sections sportives), le club connaît une légère hausse des effectifs. Les difficultés du club résident encore dans des problèmes logistiques : si nous avons trouvé de nouveaux locaux pour nos sections artistiques (boulevard Cosmao-Dumanoir), tout n’est pas rose en raison du prix élevé des loyers.
Quelles sont les sections leaders du club ?
Avec 240 licenciés au basket, la section vient de dépasser le tir sportif (220)… mais celui-ci affiche « complet » et ne peut plus accueillir d’adhérents. Nous avons adapté le stand pour recevoir 18 personnes en situation de handicap et nous sommes désormais affiliés à la FFH (Fédération française handisports). Le basket a vu la création d’une école de basket dirigée par Florence Lamour, avec l’arrivée de nombreux jeunes adhérents. La section gym artistique (160 adhérents) rencontre aussi des résultats honorifiques en compétition.
Quels sont les projets de l’Asal ?
Avec le club de tir sportif d’Auray, nous devrions organiser le championnat de France en juin 2017, au parc des expositions de Lann-Sévelin, à Lanester. Un événement qui réunira l’élite nationale sur un week-end. 2017 sera aussi l’année des 80 ans de l’Asal. Ils seront célébrés le 10 juin, au palais des congrès, en compagnie des anciens et des nouveaux adhérents du club.
© Le Télégramme